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Fin de siècle |
Un jour en France |
A ton étoile |
Ernestine |
Comme elle vient |
Prayer for a wanker |
Les persiennes |
L'homme pressé |
Lazy |
A la longue |
Septembre, en attendant |
Song for JLP |
C'est comme la fin du siècle
On aura tout compris
Même les shérifs ceux qu'on achète
On les distingue mal des bandits
On a tout eu
Ce fut un siècle formidable
Quelques malentendus seulement
Des histoires, des histoires
Garde les yeux ouverts
Que tout y passe au moins
Chéri, donne pour la paix
Car moi je veux que tout aille bien
C'est comme ces fumées rouge-oranges
Des rubans qui s'étranglent
Autour de mon cou c'est étrange
on pourrait brûler
Ahh Avaler
le grand déversoir des images cyniques
A boire à plein tube
Cathodique
Attendez-moi
j'avais envie de venir aussi
Mais voyez-vous ça va trop vite
N'allez pas si vite
Mon vieux numéro
Y'avait les drapeau du grand soir
Y'en avait des rouges, y'en avait des noirs
Aussi loin
Que je me souvienne, loin!
Quand les missiles montaient tout droit
Au ciel
Nous on veut de la vie
Longtemps, longtemps, longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps
Il y a qu'on nous prépare
A une énième révolution
D'ordre
Spectaculaire
Venez voir
Des réseaux résolus
A câbler l'infini,
Et l'univers
Vibrillonant de mille éclairs
Aujourd'hui
acclamez siouplaît l'homme nouveau
On verra bien s'il est plus beau
Et pour un jour de gloire
Il n'y a pas de place pour le doute
En cas d'échec ou de déroute
On pourra toujours s'adresser aussi
Au ciel
On veut de la vie
Longtemps, longtemps, longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps
Enclenchez la fonction mémoire
il faut produire et
reproduire encore
ça n'a pas de fin
Que ce soient tes veines
Ou des circuit d'ordinateur en pleine
possession de nos moyens
A chacun sa prière
Sa nouvelle aube mystique
Et pas le temps pour qu'on s'explique
Ouvrez les royaumes
Crevez les plafonds, il y a des chances
Pour qu'on nous expedie
Au ciel
On veut de la vie
Longtemps, longtemps, longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps
Au bistrot comme toujours
il y a de beaux discours
Au poteau les pourris, les corrompus aussi
Dents blanches et carnassiers
Mais à la première occasion
chacun deviendrait le larron
de la foire au pognon oui qui se trame ici
Allez danse avec Johnny
Se rappellent de la France
ont des réminescences
De l'ordre, des jeux, d'l'essence
quand on vivait mieux
Il y avait Paul et Mickey
On pouvait discuter mais c'est Mickey
qui a gagné
D'accord, n'en parlons plus
Un autre jour en France
Des prières pour l'audience
Et quelques fascisants autour de 15%
Charlie défends-moi !!!
C'est le temps des menaces
On a pas le choix pile en face
Et aujourd'hui, je jure que rien n'se passe
Toujours un peu plus
F.N, souffrance
Qu'on est bien en France
C'est l'heurd de changer la monnaie
On devrait encore imprimer le rêve de l'égalité
On n'devra jamais supprimer celui de la fraternité
Restent des pointillés... Yeah, Yeah, Yeah !!!
Sous la lumière en plein
et dans l'ombre en silence
si tu cherches un abri
Inaccessible
Dis toi qu'il n'est pas loin et qu'on y brille
A ton étoile
Petite soeur de mes nuits
ça m'a manqué tout ça
quand tu sauvais la face
à bien d'autre que moi
sache que je n'oublie rien mais qu'on efface
A ton étoile
Toujours à l'horizon
Des soleils qui s'inclinent
comme on a pas le choix il nous reste le coeur
tu peux cracher même rire, et tu le dois
A ton étoile
A Marcos
A la joie
A la beauté des rêves
A la mélancolie
A l'éspoir qui nous tient
A la santé du feu
Et de la flamme
A ton étoile
Ernestine
j'en ai connu des comme toi
un peu plus fines
un peu moins sûres de leur loi
Un de plus
C'est dans les us
Du pays des sortilèges
Parfum de Chine
Ou bien de n'importe quoi
Et ton Austin
Qui of course ne démarre pas
Dors c'est mieux
Ou cherche des yeux
le prochain clown qui te guette
Ernestine, Ernestine
Tu entends des voix, reste digne !
Ernestine
Les places sont chères ici-bas
Le chant des cimes
S'atteint ou ne s'atteint pas
Passent les nuits
Chassent les bruits
Il y en a d'autres qui te suivent
Ernestine, Ernestine
Ernestine, Ernestine
A se changer en Roi
A hurler à la lune
A traquer la fortune
Tout ça pour trainer son poids
Au risque de s'y plaire
Au moment de s'y croire
Sonnez les courants d'air
Faites donner l'exutoire
Il faudrait qu'on s'élève
Au fond il a d'la classe
Ou alors qu'on prenne la sève
Comme elle vient
encore et encore
Tu vois la belle bleue
Des feux de l'artifice
Et tu la sens même un peu mieux
A la faveur d'une éclipse
On voit du jour au lendemain
Que ça ne s'invente pas
Instantanément comme ca
Reprendre de volée d'aussi loin
Comme elle vient
encore et encore
Comme elle vient
Comme on peut
C'est cruel et sans fard
Ca choisit pas, merci pour eux
Comme une flèche
Comme un pieux
C'est bon pour la mémoire
Ca vous fait quoi d'être au milieu?
Hé camarade
Si les jeux sont faits
Au son des mascarades
On pourra toujours se marrer
Et dans tout le long des courants d'air
On voit des amoureux
Qui savent encore changer leurs nerfs
En un bouquet délicieux
On en aura des saisons
Des torrides et des blèmes
Je peux encore garder ton nom
Je peux aussi dire que j'l'aime
I can swim, let's dive again
into another screen
I could scream but the silence
is the best scene
I can print, this picture won't tell you
what I mean
A prayer for a wanker
I guess it's enough
I'm sure it's enough
Just a prayer for a wanker
A prayer for a wanker
A prayer for a wanker
I can swear, someday we'll take this other way
let me crawl up to any big wide road
But I want to be sure
Yeah I wanna be pure
And I carry on with an inner storm
And it's blank around
I could stop now
But it's another dream my friend
Où vont les persannes
Où vont ces paires d'yeux
Ouvrez les persiennes
La jalousie des dieux
Ouvrez, on commémore la foudre
Ouvrez, ouvrez
Où vont ces martiens
Où courent ces chiens bleus
Siroter la mer
Se faire devenir vieux
Ouvrez, et deballez ensemble
Ouvrez, ouvrez
Un jour ils s'effilent se délitent en sommeil
des caravanes immenses de guerriers
ondoyants qui appellent
Petis vers grouillent grouillent grouillent
Nettoient les flûtes des morts, curent les os
Font place nette, et l'esprit peut flotter
Cataleptique
Elan cyclopéen
Zone inhospitalière
S'en sortira demain
Qu'il est loin le soleil
Reflet dans la piscine aux noyades
paisibles et sensuelles
Oh quand même on aurait pu... Arriver
Juste dans les, juste dans les, juste dans les,
juste dans les
Délais, délais, délais, délais, délais, délais, délais
Délais, délais, délais, délais, délais
J'suis un mannequin glacé
Avec un teint de soleil
Ravalé, Homme pressé
Mes conneries proférées
Sont le destin du monde
Je n'ai pas le temps je file
Ma carrière est en jeu
Je suis l'homme médiatique
Je suis plus que politique
Je vais vite très vite
J'suis une comète humaine universelle
Je traverse le temps
Je suis une référence
Je suis omniprésent
Je deviens omniscient
J'ai envahi le monde
Que je ne connais pas
Peu importe j'en parle
Peu importe je sais
J'ai les hommes à mes pieds
Huit milliards potentiels
De crétins asservis
A part certains de mes amis
Du même monde que moi
Vous n'imaginez pas
Ce qu'ils sont gais
Qui veut de moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui veut entrer
Dans la toile de mon cerveau
Militant quotidien
De l'inhumanité
Des profits immédiats
Des faveurs des médias
Moi je suis riche, très riche
Je fais dans l'immobilier
Je sais faire des affaires
Y'en a qui peuvent payer
J'connais tout Paris
Et puis le reste aussi
Mes connaissances uniques
Et leurs femmes que je...
Fréquente évidemment
Les cordons de la bourse
Se relâchent pour moi
Il n'y aplus de secrets
Je suis le Roi des rois
Explosé l'audimat
Pulvérisée l'audience
Et qu'est-ce que vous croyez
C'est ma voie c'est ma chance
J'adore les émissions
A la télévision
Pas le temps d'regarder
Mais c'est moi qui les fais
On crache la nourriture
A ces yeux affamés
Vous voyez qu'ils demandent
Nous les savons avides
De notre pourriture
Mieux que d'la confiture
A des cochons
Qui veut de moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui veut entrer
Dans la toile de mon cerveau
Vous savez qui je suis
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
J'suis une victime en fait
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
J'suis un militant quotidien
De l'inhumanité
Et des profits immédiats
Et puis des faveurs des médias
Moi je suis riche, très riche
Je fais dans l'immobilier
Je sais faire des affaires
Y'en a qui peuvent payer
Et puis je traverse le temps
Je suis devenu omniprésent
Je suis une super référence
Je peux toujours ram'ner ma science
Moi je vais vite, très vite
Ma carrière est en jeu
Je suis l'homme médiatique
Moi je suis plus que politique
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Love Love Love
Dit-on en Amérique
Lioubov
Russie ex-Soviétique
Amour
Aux quatre coins de France
I can see you're young and pretty
I know it would be so easy
Any way dark lady I feel lazy
Those afternoons are confused
I don't think that you really chose
There's even one more reason to feel lazy
While you go away
While you go away
While you go away
While you go away
I could die but I could lie
I can deal with what's in your mind
Anyway, I'm tired and I feel lazy
You know we're both lost in maze
You're miserable, I'm so dazed
Don't you think you should feel
Suddenly lazy
lazy
lazy
While you go away
While you go away
While you go away
While you go away
Lazy, la, la, la, lazy
Lazy, la, la, la, lazy
Lazy, la, la, la, lazy
While you go away
While you go away
While you go away
Je me love dans tes bras
Et je n'aimerai que toi
A la longue
Je t'aime et dans mes bras
Toi si tu ne love que moi
On prolonge
Ton manège m'enchantait
Tournoyait
Autour du sentiment de
S'y noyer
Et la terre s'est mise à valser
Sûr que le fond des cendriers
N'est pas net
Toi tu m'appelles au secours
Ma chère folie et mon amour
Ma planète
Et tu veux du silence
En veux-tu?
Des années-lumière blanches
Par dessus
Il y a le bruissement de tes ailes
Et les grands souffles qui nous appellent
A la longue
Toujours des fleuves qui remontent
Et des vomissures qui me comptent
Parmis elles
L'or c'est sûr n'est pas loin
Cherche bien
Des sutures et des points
N'y font rien
D'où vient cette créature en robe longue
Et cette fusée encore oblongue
Qui se dresse
Elle est fière et droite comme un I
Qui peut deviner comment lui
Dire qu'elle cesse
Juste le temps de battre des cils,
Un souffle, un éclat bleu,
Un instant, qui dit mieux,
L'équilibre est fragile
J'ai tout vu
Je n'ai rien retenu
Pendant que ton ombre
En douce te quitte
Entends-tu les autres qui se battent
A la périphérie
Et même si tes yeux
Dissolvent les comètes
Qui me passent une à une
Au travers de la tête
J'y pense encore
J'y pense
A cette époque on n'écoutait qu'à peine
Le clic-cloc des pendules
A l'heure où je te parle
Sans entraves... il circule
En septembre, en attendant la suite
Des carnages il se peut, qu'arrivent la limite
J'y pense encore
J'y pense
Ensemble, maintenant
On peut prendre la fuite
Disparus, pfffuit
Avant qu'ils aient fait ouf
J'y pense encore
J'y pense
J'y pense encore
J'y pense...
WHAT I FEEL,
TEAR IS IN MY HEART
YOU'RE LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S WELL
WHAT I HEAR,
TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S WELL
WHERE DID HE GO, SON OF A BEEN
WHY FOLLOW ON THIS LIKE A RIVER'S STREAM,
YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL
WHAT I FEEL,
A TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S WELL
WHAT I HEAR,
THIS TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S WELL
WHERE DID HE GO, SON OF A BEEN
WHY FOLLOW ON THIS LIKE A RIVER'S STREAM
YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL
WHY FOLLOW ON THIS LIKE A RIVER'S STREAM
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YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL
YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL ...