Here
it comes slowly
Ici Paris
Oublié
Alice
One Trip One
Noise
Tostaky (Le continent)
Marlène
Johnny Colère
7 minutes
Sober
Song
It spurts
Lolita nie en
bloc
Crawling like a thunder slug,
Now it smells like a war drug !
Here it comes slowly,
Here it comes slowly...
Deeply buried in the bowels,
Now it spurts out of the wells !
Here it comes slowly,
Here it comes slowly...
We can keep that beast away it still lays in its gore,
We'll never stand fascism anymore !
No way out, no miracle just stop it in your blood,
Has your neighbour really understood ?!
We all wallow in dirt,
And there's a shadow to hurt !
Crawling like a thunder slug,
Now it smells like a war drug !
Oh deeply buried in the bowels,
Now it spurts out of the wells !
Wells !
Oh sad shit flowing to the skin,
No one forget what you mean !
And if it grows up like a death tree,
Why don't we beat it down here and now ?
Marianne rebelle me disait
Qu'elle est plus jolie métissée,
Ici Paris !
Caravanes, vent du désert,
Mais nous n'irons plus à la guerre,
A l'attaque !
Ici New-York, ici Moscou !
Chacun pour soi, tous pour les sous...
Solidaires...
Ici Paris !
Epargne moi !
Ici Paris, Ici Paris, Ici Paris !
Adonis et bulldozer
S'accouplent à la volontaire.
Ici Paris !
Hola Madone tu m'étonnes,
Enlève ce col qui te donne
L'air emprunté.
A l'amour et à la vie,
A syd barret et c'est fini,
Ici Londres !.
Ici Paris !
Allez épargne moi !
Ici Paris, Ici Paris, Ici Paris !
Je ne t'en veux pas,
Je ne te vois pas,
Et j'ai oublié,
Qui tu étais.
Qu'est-ce que j'ai bien pu faire
De ce souvenir ?
J'ai oublié.
Je ne t'en veux pas,
Je ne te vois pas,
L'histoire de ce train
Ne me dit rien.
De quoi nous avons parlé
A la fin de l'été ?
J'ai oublié,
Je ne t'en veux pas,
Je ne te vois pas,
Et j'ai oublié,
Qui tu étais.
Qu'est-ce j'ai bien pu faire de ce souvenir-là ?
J'ai oublié,
J'ai tout oublié.
J'ai oublié,
J'ai oublié...
Alice a le don de la métamorphose,
Elle peut se transformer et rien ne s'y oppose,
Alice a le don...
Alice a le doigt qui se perd sur le globe,
Elle se retrace les lumières
Et traverse la Terre...
Alice a le doigt...
Alice se frotte a l'immersion
Et au diadème solaire
Enfin à d'autres visions
Alice se frotte, allez Alice se frotte...
Assise au milieu des ondes,
Alice est féconde,
A dada sur son monde,
Elle envoie ses fléchettes !
A la fin oui tout s'explique,
Rêve et mécanique,
Et le ciel électrique,
Des télévisions !
Alice se regarde,
Alanguie sur son plume,
Elle a tant flotté dans l'éther,
Qu'elle arrive à la Lune !
Alice veut du mieux !
Alice fait sa nuit
Dans des villes enchantées,
Alors elle se réveille au matin
Sur des terres brûlées !
Alice fait sa nuit !
Quand sur ses ailes d'acier,
Dans des lits d'initiés,
Elle sent le point du jour,
Elle a fait le tour !
Alice sort de la faille,
Et revient à sa taille,
Alors le monde entier
Redevient normal !
Alice est comme ça.
Au bout, de la course.
Remonte jusqu'à la source.
One trip, one noise.
Circuit, nuit bleue.
Spécialiste de l'enjeu.
One trip, one noise,
One trip, one noise.
Longue attente avant de s'élancer/one trip,
Longue vie, tout à recracher/one noise.
Carrosse,
D'acier.
Cendrillon,
A jeter.
One trip, one noise,
One trip, one noise.
Longue attente avant de s'élancer/one trip.
Longue vie, tout à recracher/one noise.
Hé toi,
Réponds à.
Qui sont ?
Où va moi ?
One trip, one noise,
One trip, one noise.
Longue attente avant de s'élancer/one trip.
Longue vie sans jamais s'écraser/one noise.
Nous survolons des villes,
Des autoroutes en friches.
Diagonales perdues,
Et des droites au hasard.
Des femmes sans visages,
A l'atterrissage.
Soyons désinvoltes,
N'ayons l'air de rien.
Para la queja Mexica,
Este sueño de America,
Celebremos la aluna,
De siempre, ahorita.
Et les branleurs traînent,
Dans la rue,
Et ils envoient ça aux étoiles,
Perdues.
Encore combien à attendre ?
Combien à attendre ?
Combien à attendre ?
Encore combien à attendre ?
Encore combien à attendre ?
Tostaky !
Le fond du continent,
L'or du Nouveau Monde.
Pyramides jetables,
Hommes d'affaire impeccables.
Quand la pluie de sagesse,
Pourrit sur les trottoirs,
Notre mère la Terre,
Etonnez moi...
Para la queja Mexica,
Este sueño de America
Celebremos la aluna,
De siempre, ahorita !
Pendre les fantômes
Cortez !
Et pourrir à l'ombre,
Cortez !
De l'Amérique vendue
A des gyrophares crus,
Pour les nouveaux faisceaux,
Pour les nouveaux soleils,
Pour les nouveaux rayons,
Pour les nouveaux soleils...
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Aqui para nosotros,
Tostaky !
Bien reçu,
Tous les messages,
Ils disent qu'ils ont compris,
Qu'il n'y a plus le choix,
Que l'esprit qui souffle,
Guidera leurs pas,
Qu'arrivent les derniers temps où
Nous pourrons parler...
Ah, alors soyons désinvoltes,
N'ayons l'air de rien...
Soyons désivoltes,
N'ayons l'air de rien...
Soyons désivoltes,
N'ayons l'air de rien...
Soyons désivoltes,
N'ayons l'air de rien...
Oh Marlène,
Les coeurs saignent et s'accrochent en haut de tes bas.
Oh Marlène,
Dans tes veines coule l'amour des soldats.
Et quand ils meurent,
Ou s'endorment,
C'est la chaleur de ta voix,
Qui les apaise,
Et les traine,
Jusqu'en dehors des combats...
Oh Marlène,
C'est la haine,
Qui nous a amené là,
Mais Marlène,
Dans tes veines,
Coule l'amour des soldats,
Eux quand ils meurent,
Ou s'endorment,
C'est dans le creux de tes bras,
Qu'ils s'abandonnent et qu'ils brûlent,
Comme un clope entre tes doigts.
Marlène,
Les coeurs saignent et s'accrochent en haut de tes bas.
Mais, Marlène,
Dans tes veines coule l'amour des soldats.
Eux quand ils meurent,
Ou s'endorment,
Dans la chaleur de tes bras,
Ca les apaise,
Ca les traine,
Jusqu'en dehors des combats...
Hier und Immer,
Da kennt man sie,
Kreuz und Kreuzen
Marlène immer liebt.
Johnny m'a dit, Johnny m'a dit :
"Oublie ton père, Oublie ta mère,
Oublie ton coeur, Oublie tes moeurs !"
Johnny m'a dit, Johnny m'a dit
"Tupamaros, Cangaceiros,
C'est le camp qu'il faut choisir !"
Oh Johnny m'a dit, Johnny m'a dit
Tout ça un soir où le ciel zébré d'éclairs
Nous déclarait : "Nous allons fonder le parti unique !"
Johnny m'a dit, Johnny m'a dit :
"Rejoins tes frères, rejoinds tes soeurs,
Bois le sang de ton ennemi !"
Johnny m'a dit, Johnny m'a dit :
"Ecarte le rouge, écarte le blanc,
La seule couleur c'est noir brillant !"
Oh Johnny m'a dit, Johnny m'a dit
Tout ça un soir où le ciel zébré d'éclairs
Nous déclarait : "Nous allons fonder le parti unique !"
Unique !
Et la victoire caresse l'espoir de nous appartenir !
Et la victoire caresse l'espoir de nous appartenir !
Car il faut tenir !
Johnny m'a dit,
Johnny m'a dit,
Johnny m'a dit,
Johnny m'a dit !
Oh, between skies and fields,
This land in midnight lights,
Cold summer, cold summer
Till the end of time.
Oh, the earth's like a belly,
A heavy sleeping beast,
But with her big eyes opened,
And cities are inside,
Yes, the cities are inside.
Still standing on the hill,
The city's like an ocean,
Enjoy the metal waves,
In which we drown ourselves.
Hey, don't you breathe anymore,
Are you far from the next corner ?
Your race is burning the pavement.
Welcome to the city,
The city's done for you,
Yell with the underdogs...
Oh Lord, hear me please,
You have to make me sober.
Aspirin, come on please,
I don't want to suffer.
I found one of my socks
Under the telephone.
I've never asked these bells
To ring in my home.
What have I done to my hat ?
I had no hat before...
Something like a tear is running on my bones.
It's all right now,
But what an awful night...
I'm almost reaching the kitchen,
I'll drink water till I die...
(About yesterday)
Yesterday was the time of lavishness,
Everything 'round me was only loveliness.
I was the king but the night was reigning over me,
So much excitement but now this pleasure's gone without me.
It's all right now,
But what an awful night...
I'm almost reaching the kitchen,
I'll drink water till I die...
I'll drink water till I die...
I'll drink water till I die...
Aspirin, come on please,
I don't want to suffer.
Oh Lord, hear me please,
You have to make me sober...
But I don't know what's going on there...
Nobody will drag me into these
Stinking thoughts I know you.
You won't never carry it off
Even if you're kind with me.
Get out leave me alone
And have a nice day asshole.
I know why you're a pretty cynic shit
That I can't stand anymore.
So sorry about that
But I feel like you pick on me boy.
Get out leave me alone,
And have a nice day asshole.
Listen and see :
Don't try it with me...
Don't try it with me...
Don't try it with me...
I told you.
You've been drinking a lot,
And your head's going round...
Of course you think I'm a
Paranoïac silly dirty wicked boy...
And you're a pain in my aaahh
So come on,
Stop !
I fuck you !
Shut up !
I'll kill you !
Fuck off !
You always drive me crazy...
Get out leave me alone,
And have a nice day asshole.
Listen and see :
Don't try it with me...
Don't try it with me...
Don't try it with me...
Don't try it, I told you.
Don't try it, but it's over.
You even don't know anything true
About my life...
Poison
Explodes
And spurts out of our souls...
Poison
Explodes
And spurts out of our souls...
Poison
Explodes
And spurts out of our souls...
Lolita nie en bloc elle navigue au loin sous
Les cils à cent lieues de se douter que les
Silences et la jalousie la guettent, elle oublie
La liste et l'allonge encore elle veut s'isoler
Et alors elle s'absorbe dans la contemplation
De ses pieds...
Un ange passe...
Un ange passe...
Et puis son doigt décrit dans l'air des étoiles
Ou bien des éclairs elle ignore si superbement
Les sentiments les aléas de l'amour elle s'avance
Vers la fenêtre, abandonnée lascive et elle
Couvre le ciel de mille signes étranges et inconnus de tous.
Un ange passe...
Un ange passe...
Un ange passe...
Un ange passe...
Désolé Lola je n'ai pas su déchiffrer le sens
Secret de tes gestes lents aérés, simulacres ou
Magie futile à mois que le vide et l'ennui
Ne s'emparent de toi Lolita et si cette bulle pleine
De rien voulait se crever enfin...
Un ange passe...
Un ange passe...